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Le blog  Aimons les Comores de SAID IBRAHIM

FNJ : A qui profite le crime ?

12 Juillet 2014 , Rédigé par Aimons les Comores

A qui profite le crime ?    Un groupe de Soudanais et de Syriens se présentant comme des investisseurs de premier plan aurait porté plainte contre Saïd Youssouf Saïd Mohamed, l’ex-conseiller chargé du suivi des dossiers du monde arabe auprès du président de la République Ikililou Dhoinine, l’accusant d’escroquerie .    Le chef de file de ces prétendus hommes d’affaires arabes s’appelle Abbas Nasr Abbas. Il est Soudanais et semble porter plusieurs casquettes, un jour simple négociant et un autre représentant d’une société de pêche aux Comores. Ces derniers jours, cet homme écume les radios et donne des interviews dans la presse écrite en ciblant très précisément l’ex-conseiller du président. Suite à ces accusations, ce dernier avait été arrêté, interrogé par la gendarmerie avant d’être relâché.  La diffamation semble être la méthode d’élimination retenue par ce sinistre individu et les hommes (des Comoriens) qui l’entourent.  Ce qu’il faut savoir c’est que ce prétendu richissime investisseur arabe, Abbas Nasr Abbas, rencontrerait des problèmes de trésorerie. Il logeait avec six de ses comparses à l’Hôtel Le Retaj, à Moroni, depuis deux mois. Mais, Abbas Nasr Abbas s’apprêtait à fuir de son lieu de villégiature et des Comores sans s’acquitter des 17 000 euros correspondant à la durée de son séjour.    Le DG de l’hôtel Le Retaj lui a ainsi confisqué son passeport après l’avoir enjoint vainement de payer sa dette. Visiblement Abbas Nasr Abbas semble avoir trouvé une parade pour éviter la case prison et récupérer sa pièce d'identité pour fuir le pays. Sur le groupe de six personnes, quatre étaient syriennes et deux soudanaises. Quatre d’entre d’elles ont pu échapper à la justice et quitter le territoire en catimini pour le Soudan. Il ne reste plus qu’Abbas Nasr Abbas et le Syrien Mohamed Hassoune aux Comores.    Depuis 2012, Saïd Youssouf Saïd Mohamed a été nommé par le gouvernement comorien au sein du Conseil d’administration de la Compagnie nationale Comores Air International, un ambitieux projet pour la mise en place d’une compagnie nationale de transport aérien. Un dossier, qu’il a trouvé dans les tiroirs à son arrivé au sein du cabinet présidentiel en 2011. Depuis lors, il a entamé plusieurs démarches et multiplié les initiatives afin de trouver une solution pour la mise en activité de cette compagnie dont l’objectif principal est de sortir définitivement les Comores de l’isolement et de venir au secours de la population comorienne aussi bien de l’archipel que de sa diaspora.    Son projet pourtant essentiel au développement des Comores s’est heurté au sein du cabinet présidentiel à des lobbies hostiles aux intérêts nationaux, au courant civilisationnel comme aux compétences incarnés par le chef du Conseil supérieur d’orientation du Front National pour la Justice (FNJ). D’ailleurs, ces accusations surviennent seulement quelques jours après l’éviction de Saïd Youssouf Saïd Mohamed du cabinet de la Présidence.    Homme pieux, droit et réservé, Saïd Youssouf Saïd Mohamed est peu connu du grand public. Souvent en retrait lors des cérémonies officielles, il n’en a pas moins été moins un cadre actif quand il exerçait encore ses fonctions de conseiller.    Derrière ces graves accusations d’escroquerie contre l’ancien conseiller aux Affaires arabe se joue une affaire autrement plus sournoise et grave; une affaire politico-financière avec pour enjeux la récupération du projet de compagnie aérienne nationale, de juteuses et prometteuses commissions et l’élimination par le mensonge, la calomnie de l’homme-clé à la fois de dossiers en cours de réalisation - notamment cette future compagnie aérienne, et du FNJ, un homme plutôt réputé pour sa réserve, son intégrité, sa science, sa loyauté et son patriotisme.    A qui donc profite le crime ?    Au faux investisseur Abbas Nasr Abbas ?    La vérité est sans doute ailleurs : du côté des hautes sphères du pouvoir et parmi certains dissidents du Front National pour la Justice.  Des réunions ainsi que de nombreuses discussions se seraient déroulées, en toute discrétion, à la résidence de Bourhane Hamidou, le président de l’Assemblée nationale, en face de Yéménia, à son bureau de l’Assemblée nationale ainsi qu’au bureau de monsieur Hachim, le représentant de la région de Kharthoum auprès de l île de Ngazidja, au quartier Ambassadeur de Moroni. De nombreux détracteurs du régime Ikililou auraient été de la partie ainsi que des dissidents du FNJ.    Abbas Nasr Abbas, qui se présente comme le véritable investisseur dans cette affaire, ce qui est faux, n'est en réalité qu’un simple intermédiaire. Un malfrat aujourd’hui démasqué et neutralisé avec ses réseaux mafieux et qui n’a pas trouvé meilleur subterfuge que de s’aliéner des comploteurs locaux et d’accuser d’escroquerie l’ex-conseiller chargé du suivi des dossiers du monde arabe du président de la République Ikililou Dhoinine, semant sur son passage calomnie, troubles et zizanie.    Voilà peut-être sa garantie pour échapper à la prison et quitter le territoire comorien pour ne pas subir le même sort que monsieur Mazzine, un Soudanais, emprisonné, pour n’avoir pas payer aussi son séjour à l’Hôtel.    Il faut espérer que la justice comorienne fasse toute la lumière sur cette affaire aux relents de scandale politique et économique.. RIDJA  BLOG

A qui profite le crime ? Un groupe de Soudanais et de Syriens se présentant comme des investisseurs de premier plan aurait porté plainte contre Saïd Youssouf Saïd Mohamed, l’ex-conseiller chargé du suivi des dossiers du monde arabe auprès du président de la République Ikililou Dhoinine, l’accusant d’escroquerie . Le chef de file de ces prétendus hommes d’affaires arabes s’appelle Abbas Nasr Abbas. Il est Soudanais et semble porter plusieurs casquettes, un jour simple négociant et un autre représentant d’une société de pêche aux Comores. Ces derniers jours, cet homme écume les radios et donne des interviews dans la presse écrite en ciblant très précisément l’ex-conseiller du président. Suite à ces accusations, ce dernier avait été arrêté, interrogé par la gendarmerie avant d’être relâché. La diffamation semble être la méthode d’élimination retenue par ce sinistre individu et les hommes (des Comoriens) qui l’entourent. Ce qu’il faut savoir c’est que ce prétendu richissime investisseur arabe, Abbas Nasr Abbas, rencontrerait des problèmes de trésorerie. Il logeait avec six de ses comparses à l’Hôtel Le Retaj, à Moroni, depuis deux mois. Mais, Abbas Nasr Abbas s’apprêtait à fuir de son lieu de villégiature et des Comores sans s’acquitter des 17 000 euros correspondant à la durée de son séjour. Le DG de l’hôtel Le Retaj lui a ainsi confisqué son passeport après l’avoir enjoint vainement de payer sa dette. Visiblement Abbas Nasr Abbas semble avoir trouvé une parade pour éviter la case prison et récupérer sa pièce d'identité pour fuir le pays. Sur le groupe de six personnes, quatre étaient syriennes et deux soudanaises. Quatre d’entre d’elles ont pu échapper à la justice et quitter le territoire en catimini pour le Soudan. Il ne reste plus qu’Abbas Nasr Abbas et le Syrien Mohamed Hassoune aux Comores. Depuis 2012, Saïd Youssouf Saïd Mohamed a été nommé par le gouvernement comorien au sein du Conseil d’administration de la Compagnie nationale Comores Air International, un ambitieux projet pour la mise en place d’une compagnie nationale de transport aérien. Un dossier, qu’il a trouvé dans les tiroirs à son arrivé au sein du cabinet présidentiel en 2011. Depuis lors, il a entamé plusieurs démarches et multiplié les initiatives afin de trouver une solution pour la mise en activité de cette compagnie dont l’objectif principal est de sortir définitivement les Comores de l’isolement et de venir au secours de la population comorienne aussi bien de l’archipel que de sa diaspora. Son projet pourtant essentiel au développement des Comores s’est heurté au sein du cabinet présidentiel à des lobbies hostiles aux intérêts nationaux, au courant civilisationnel comme aux compétences incarnés par le chef du Conseil supérieur d’orientation du Front National pour la Justice (FNJ). D’ailleurs, ces accusations surviennent seulement quelques jours après l’éviction de Saïd Youssouf Saïd Mohamed du cabinet de la Présidence. Homme pieux, droit et réservé, Saïd Youssouf Saïd Mohamed est peu connu du grand public. Souvent en retrait lors des cérémonies officielles, il n’en a pas moins été moins un cadre actif quand il exerçait encore ses fonctions de conseiller. Derrière ces graves accusations d’escroquerie contre l’ancien conseiller aux Affaires arabe se joue une affaire autrement plus sournoise et grave; une affaire politico-financière avec pour enjeux la récupération du projet de compagnie aérienne nationale, de juteuses et prometteuses commissions et l’élimination par le mensonge, la calomnie de l’homme-clé à la fois de dossiers en cours de réalisation - notamment cette future compagnie aérienne, et du FNJ, un homme plutôt réputé pour sa réserve, son intégrité, sa science, sa loyauté et son patriotisme. A qui donc profite le crime ? Au faux investisseur Abbas Nasr Abbas ? La vérité est sans doute ailleurs : du côté des hautes sphères du pouvoir et parmi certains dissidents du Front National pour la Justice. Des réunions ainsi que de nombreuses discussions se seraient déroulées, en toute discrétion, à la résidence de Bourhane Hamidou, le président de l’Assemblée nationale, en face de Yéménia, à son bureau de l’Assemblée nationale ainsi qu’au bureau de monsieur Hachim, le représentant de la région de Kharthoum auprès de l île de Ngazidja, au quartier Ambassadeur de Moroni. De nombreux détracteurs du régime Ikililou auraient été de la partie ainsi que des dissidents du FNJ. Abbas Nasr Abbas, qui se présente comme le véritable investisseur dans cette affaire, ce qui est faux, n'est en réalité qu’un simple intermédiaire. Un malfrat aujourd’hui démasqué et neutralisé avec ses réseaux mafieux et qui n’a pas trouvé meilleur subterfuge que de s’aliéner des comploteurs locaux et d’accuser d’escroquerie l’ex-conseiller chargé du suivi des dossiers du monde arabe du président de la République Ikililou Dhoinine, semant sur son passage calomnie, troubles et zizanie. Voilà peut-être sa garantie pour échapper à la prison et quitter le territoire comorien pour ne pas subir le même sort que monsieur Mazzine, un Soudanais, emprisonné, pour n’avoir pas payer aussi son séjour à l’Hôtel. Il faut espérer que la justice comorienne fasse toute la lumière sur cette affaire aux relents de scandale politique et économique.. RIDJA BLOG

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S
Il serait judicieux de reconnaître le travail effectieux par Said youssouf Said Mohamed lorsqu il était aux affaires au lieu d essayer de l accabler sur des choses dont il ne serait pas capable de faire.<br /> Je pense qu on va manquer l occasion de reconnaître un homme digne et respectueux de la république.<br /> Je ne cherche à accabler personne seulement les gens qui connaiissent ce garcon vous le diront.que monsieur Said yousouf Said mohamdd à toujoursde passer les intérêts des compatriotes et celles de la nation avant tout .<br /> Il est inconcevable pour lui que soit autrement..<br /> Peut être qu'il y a des gens malades par la corruption aux Comores... mais il n'est pas imaginable qu'un soir de ramadan un juge comorien mets un innocent en prison pour des accuations sans preuves et sans fondement.<br /> Peut être que dans le sphère politique ou dans l entourage il y a des gens qui vont se manifester pour lui a porter leur soutien.<br /> Certes la justice doit faire son travail.mais je pense qu'on ne peut privé un homme de sa liberté pour des accusations non jutifie et sans preuve.<br /> Il y à le respect de noS institutions .<br /> Il y a aussi la dignité des nos représentants.<br /> Alors faisont les choses avec le respect et la dignité pour notre nation.<br /> N'y a t-il pas un mélange de genre dans cette histoire?<br /> Pour pas ne payer mes factures j accuse un homme sans fondement et sans preuve.<br /> Aux garants des nos institutions ..demander les preuves ou chercher les vous même.!<br /> Cela ferra grandir notre nation.<br /> Que vous soyez aimé ou détesté la nation doit faire respecter ladignite des enfants.
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