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Le blog  Aimons les Comores de SAID IBRAHIM

Qui est responsable de cette indépendance bâclée et de la partition de Mayotte ?

13 Juillet 2014 , Rédigé par Aimons les Comores

Qui est responsable de cette indépendance bâclée et de la partition de Mayotte ?

La déclaration du directeur de cabinet d'IKILILOU, Mr BOLERO prononcée il y a quelques mois à la télévision nationale sur le plateau de BENABDOU, accusant les grands comoriens, en l'occurrence Monsieur Saïd Mohamed CHEK et le mongozi Ali SOILIH d'être responsables de la partition de Mayotte,  a provoqué encore une levée de boucliers chez les  notables contre le président IKI. Ces notables politiciens qui ont été le fer de lance de l'UDZIMA veulent aujourd'hui se déresponsabiliser, en prétextant de défendre la mémoire du président S.M.CHEK, alors que c'est d'eux que parle Mr BOLERO. Et pour nous princistes-soilihistes, nous disons que la vérité sur l'histoire de notre pays doit émergée  et cela quel que soit le prix à payer. C'est pourquoi nous allons faire le point sur la position qui était celle de l'UMMA et Front National Uni (FNU) et celle de l'UDZIMA enfin d'éclairer les comoriens  sur le degré de responsabilité de chaque tendance, s'agissant de l'accession de notre pays à  l'indépendance et sur la partition de Mayotte. En effet, selon la charte rédigée par le UMMA qui en était devenue plus tard celle du FNU et soumise au parti de l'UDZIMA du président Ahmed ABDALLAH, Mr Mohamed AHMED, de TAKI , Mr Ali MROUDJAE, Mr BASSI et Saïd HASSANE, Omar TAMOU etc.  Le UMMA et RDPC s'engagent  à : - Une indépendance immédiate. - Mais jamais une indépendance sans Mayotte. - Jamais une indépendance avec des  forces militaires étrangères sur le sol comorien. - Exigeaient la mise en place d'une Assemblée constituante des institutions. - Exigeaient également la mise en place d'un gouvernement d'union Nationale restreinte pour évacuer les affaires courantes. - Demandaient à ce que l'indépendance soit proclamée à Mayotte et non à Ngazidja. - Réclamaient l'élection libre d'un président de la république et l'élection d'une Assemblée Nationale. Voilà les 8 points que les ténors défendus par le parti UMMA et reprise après par le Front National Uni.  Après les accords du 15 juin 1973 signés par le parti UDZIMA à Paris et dénoncés auparavant par le prince SAÏD IBRAHIM et le Mongozi Ali SOILIH, certains partis qui formaient l'UDZIMA d'ABDALLAH  et TAKI l'ont  quitté suite à la signature de ces accords pour aller rejoindre le FNU du prince Saïd IBRAHIM , d'Ali SOILIH, d' ALI Toihir, de HASSANALY, de Mouzawara ABDALLAH, de Saïd MOHAMED Djanfar, du Pr Ali BOURHANI, Charif Saïd ALI, du Dr BENALI, de Tadjidine Ben Massoudi, de Mikidache ABDOURAHIME, d'Adrien GIROU de Mayotte, de Marcel HENRI de MAYOTTE, de Christian NOVOU de Mayotte, d' Abderrahmane Mohamed SIDI, de Saïd ALI TURKI  et d'ABDASS Djous. Malheureusement, cette charte du FNU, a été piétinée par le président ABDALLAH qui  voulait coûte que coûte devenir le père de cette indépendance au point de signer des accords mettant en cause l'intégrité territoriale du pays. Il est à noter également que pendant le temps que le président CHEK et le président ABDALLAH étaient aux affaires, jamais ils ont mis les pieds à Mayotte, contrairement à prince SAÏD IBRAHIM qui s'était rendu dans l'ile pour aller demander à ses frères Mahorais de prendre part dans son gouvernement, pendant le temps qu'il fut président du gouvernement. Malheureusement, après la motion de censure qui a déposé le prince, Abdallah a renvoyé tous les membres du mouvement mahorais chez eux ! Mais quel gâchis ! Pour finir, je crois qu'il serait sage pour  un ministre d'interroger  l'histoire, avant de lancer des déclarations tonitruantes ! Mbadakome

La déclaration du directeur de cabinet d'IKILILOU, Mr BOLERO prononcée il y a quelques mois à la télévision nationale sur le plateau de BENABDOU, accusant les grands comoriens, en l'occurrence Monsieur Saïd Mohamed CHEK et le mongozi Ali SOILIH d'être responsables de la partition de Mayotte, a provoqué encore une levée de boucliers chez les notables contre le président IKI. Ces notables politiciens qui ont été le fer de lance de l'UDZIMA veulent aujourd'hui se déresponsabiliser, en prétextant de défendre la mémoire du président S.M.CHEK, alors que c'est d'eux que parle Mr BOLERO. Et pour nous princistes-soilihistes, nous disons que la vérité sur l'histoire de notre pays doit émergée et cela quel que soit le prix à payer. C'est pourquoi nous allons faire le point sur la position qui était celle de l'UMMA et Front National Uni (FNU) et celle de l'UDZIMA enfin d'éclairer les comoriens sur le degré de responsabilité de chaque tendance, s'agissant de l'accession de notre pays à l'indépendance et sur la partition de Mayotte. En effet, selon la charte rédigée par le UMMA qui en était devenue plus tard celle du FNU et soumise au parti de l'UDZIMA du président Ahmed ABDALLAH, Mr Mohamed AHMED, de TAKI , Mr Ali MROUDJAE, Mr BASSI et Saïd HASSANE, Omar TAMOU etc. Le UMMA et RDPC s'engagent à : - Une indépendance immédiate. - Mais jamais une indépendance sans Mayotte. - Jamais une indépendance avec des forces militaires étrangères sur le sol comorien. - Exigeaient la mise en place d'une Assemblée constituante des institutions. - Exigeaient également la mise en place d'un gouvernement d'union Nationale restreinte pour évacuer les affaires courantes. - Demandaient à ce que l'indépendance soit proclamée à Mayotte et non à Ngazidja. - Réclamaient l'élection libre d'un président de la république et l'élection d'une Assemblée Nationale. Voilà les 8 points que les ténors défendus par le parti UMMA et reprise après par le Front National Uni. Après les accords du 15 juin 1973 signés par le parti UDZIMA à Paris et dénoncés auparavant par le prince SAÏD IBRAHIM et le Mongozi Ali SOILIH, certains partis qui formaient l'UDZIMA d'ABDALLAH et TAKI l'ont quitté suite à la signature de ces accords pour aller rejoindre le FNU du prince Saïd IBRAHIM , d'Ali SOILIH, d' ALI Toihir, de HASSANALY, de Mouzawara ABDALLAH, de Saïd MOHAMED Djanfar, du Pr Ali BOURHANI, Charif Saïd ALI, du Dr BENALI, de Tadjidine Ben Massoudi, de Mikidache ABDOURAHIME, d'Adrien GIROU de Mayotte, de Marcel HENRI de MAYOTTE, de Christian NOVOU de Mayotte, d' Abderrahmane Mohamed SIDI, de Saïd ALI TURKI et d'ABDASS Djous. Malheureusement, cette charte du FNU, a été piétinée par le président ABDALLAH qui voulait coûte que coûte devenir le père de cette indépendance au point de signer des accords mettant en cause l'intégrité territoriale du pays. Il est à noter également que pendant le temps que le président CHEK et le président ABDALLAH étaient aux affaires, jamais ils ont mis les pieds à Mayotte, contrairement à prince SAÏD IBRAHIM qui s'était rendu dans l'ile pour aller demander à ses frères Mahorais de prendre part dans son gouvernement, pendant le temps qu'il fut président du gouvernement. Malheureusement, après la motion de censure qui a déposé le prince, Abdallah a renvoyé tous les membres du mouvement mahorais chez eux ! Mais quel gâchis ! Pour finir, je crois qu'il serait sage pour un ministre d'interroger l'histoire, avant de lancer des déclarations tonitruantes ! Mbadakome

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