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Le blog  Aimons les Comores de SAID IBRAHIM

Moroni: Des risques de maladies pèsent sur la population

2 Septembre 2014 , Rédigé par Aimons les Comores

Moroni: Des risques de maladies pèsent sur la population

Des risques de maladies pèsent sur la population

Les dépotoirs sauvages d’ordures ont refait surface. Depuis la semaine dernière, juste après la tenue du sommet de la COI, les ordures ménagères inondent les marchés et menacent la santé publique.
Le petit marché de Moroni est devenu un espace où les bactéries prolifèrent. Son entrée ouest est bloquée par les tonnes d’ordures qui s’entassent depuis la semaine dernière. L’odeur nauséabonde qui s’en dégage inonde les quartiers environnants. Madjenini, Mtsangani, Badjanani et les institutions financières qui occupent la Place de France peuvent en témoigner. L’équipe de la Gazette des Comores a eu du mal à s’approcher du lieu. Pourtant, des dizaines de commerçants se sont installés à deux pas de ce dépotoir sauvage.   Sous le soleil ou sous la pluie, ils respirent la mauvaise odeur qui s’en dégage. Les produits alimentaires y sont posés à même le sol et sont vendus à la population. Les risques d’épidémie comme la diarrhée, le cholera ou une intoxication sont énormes.   Il serait plus facile de pointer du doigt le comportement incivique de la population habituée à déposer quotidiennement les ordures dans certains lieux de ramassage mais le plus inquiétant reste l’inertie des autorités publiques. Une autorité qui n’agit que rarement pour l’intérêt général et public et dont la mission principale s’est réduite à sa plus simple expression, se contenter d’honorer de sa présence, les cérémonies officielles ou les grands mariages.   Les autorités communales et insulaires devraient en finir avec ce manque de responsabilité qui les caractérise car la collectivité locale a pour objet d’assurer l’ordre, la sûreté et la salubrité publique.   Le ministère et le commissariat de Ngazidja chargé de l’Environnement devraient aussi proposer des solutions car ils ont pour mission de veiller à ce que le milieu physique de la vie humaine, n’influe pas défavorablement sur le bien-être des personnes. Dans la capitale, les habitants sont en droit de s’interroger sur l’utilisation des fonds collectés chaque jour dans les marchés, alors que le nettoyage des lieux n’est plus assuré. Qu’attendent le Maire et son équipe pour apporter des réponses à cette situation de santé publique.   Al-hamdi Abdillah Hamdi
Le petit marché de Moroni est devenu un espace où les bactéries prolifèrent. Son entrée ouest est bloquée par les tonnes d’ordures qui s’entassent depuis la semaine dernière. L’odeur nauséabonde qui s’en dégage inonde les quartiers environnants. Madjenini, Mtsangani, Badjanani et les institutions financières qui occupent la Place de France peuvent en témoigner. L’équipe de la Gazette des Comores a eu du mal à s’approcher du lieu. Pourtant, des dizaines de commerçants se sont installés à deux pas de ce dépotoir sauvage.   Sous le soleil ou sous la pluie, ils respirent la mauvaise odeur qui s’en dégage. Les produits alimentaires y sont posés à même le sol et sont vendus à la population. Les risques d’épidémie comme la diarrhée, le cholera ou une intoxication sont énormes.   Il serait plus facile de pointer du doigt le comportement incivique de la population habituée à déposer quotidiennement les ordures dans certains lieux de ramassage mais le plus inquiétant reste l’inertie des autorités publiques. Une autorité qui n’agit que rarement pour l’intérêt général et public et dont la mission principale s’est réduite à sa plus simple expression, se contenter d’honorer de sa présence, les cérémonies officielles ou les grands mariages.   Les autorités communales et insulaires devraient en finir avec ce manque de responsabilité qui les caractérise car la collectivité locale a pour objet d’assurer l’ordre, la sûreté et la salubrité publique.   Le ministère et le commissariat de Ngazidja chargé de l’Environnement devraient aussi proposer des solutions car ils ont pour mission de veiller à ce que le milieu physique de la vie humaine, n’influe pas défavorablement sur le bien-être des personnes. Dans la capitale, les habitants sont en droit de s’interroger sur l’utilisation des fonds collectés chaque jour dans les marchés, alors que le nettoyage des lieux n’est plus assuré. Qu’attendent le Maire et son équipe pour apporter des réponses à cette situation de santé publique.   Al-hamdi Abdillah Hamdi

Le petit marché de Moroni est devenu un espace où les bactéries prolifèrent. Son entrée ouest est bloquée par les tonnes d’ordures qui s’entassent depuis la semaine dernière. L’odeur nauséabonde qui s’en dégage inonde les quartiers environnants. Madjenini, Mtsangani, Badjanani et les institutions financières qui occupent la Place de France peuvent en témoigner. L’équipe de la Gazette des Comores a eu du mal à s’approcher du lieu. Pourtant, des dizaines de commerçants se sont installés à deux pas de ce dépotoir sauvage. Sous le soleil ou sous la pluie, ils respirent la mauvaise odeur qui s’en dégage. Les produits alimentaires y sont posés à même le sol et sont vendus à la population. Les risques d’épidémie comme la diarrhée, le cholera ou une intoxication sont énormes. Il serait plus facile de pointer du doigt le comportement incivique de la population habituée à déposer quotidiennement les ordures dans certains lieux de ramassage mais le plus inquiétant reste l’inertie des autorités publiques. Une autorité qui n’agit que rarement pour l’intérêt général et public et dont la mission principale s’est réduite à sa plus simple expression, se contenter d’honorer de sa présence, les cérémonies officielles ou les grands mariages. Les autorités communales et insulaires devraient en finir avec ce manque de responsabilité qui les caractérise car la collectivité locale a pour objet d’assurer l’ordre, la sûreté et la salubrité publique. Le ministère et le commissariat de Ngazidja chargé de l’Environnement devraient aussi proposer des solutions car ils ont pour mission de veiller à ce que le milieu physique de la vie humaine, n’influe pas défavorablement sur le bien-être des personnes. Dans la capitale, les habitants sont en droit de s’interroger sur l’utilisation des fonds collectés chaque jour dans les marchés, alors que le nettoyage des lieux n’est plus assuré. Qu’attendent le Maire et son équipe pour apporter des réponses à cette situation de santé publique. Al-hamdi Abdillah Hamdi

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