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Le blog  Aimons les Comores de SAID IBRAHIM

La magie noire pratiquée par le président Ikililou pour se maintenir au pouvoir a-t-elle envoûté les mobilisateurs de l'action '' Île morte'' du 29 octobre ?

7 Novembre 2014 , Rédigé par Aimons les Comores

La magie noire pratiquée par le président Ikililou  pour se maintenir au pouvoir a-t-elle envoûté les mobilisateurs de l’action ‘’ Île morte’’ du 29 octobre ?C'est la seule question qui revient dans les bouches des hommes et des femmes qui ont contribué activement à la réussite de cette journée '' Île morte'' après le fameux plan de sortie de crise énergétique dans notre pays. Un plan qualifié par la majorité des comoriens comme un mépris voire une insulte de la part d'un gouvernement aux abois, et qui perd ses repères. Comme leurs camarades que nos militants pour la libération des Comores ont rencontrés ce matin Place Ajao, ces quatre diplômés dans la rue sans emploi depuis quatre ans, perdent espoir quant à une vraie riposte pour imposer le changement dans notre pays. Ils ont naïvement cru que la journée '' Île morte'' est le début de la fin d'un régime qui ne pense qu'à son propre ventre et qui traite son peuple de mendiants. Mais, cette réunion de la honte tenue à la présidence de la République entre gouvernement et les représentants de ce peuple mal traité par le pouvoir, est aux yeux de chacune et chacun, un échec total et le combat doit continuer.  Quelle naïveté de croire qu'en l'espace de trois mois, ces autorités sans cœur parviendront à trouver une solution à cette crise énergétique, alors que ce sont les mêmes qui détiennent le pouvoir depuis plus de 8 ans ? On a tendance à oublier que c'est la même équipe de la continuité, et il n y a pas lieu à se faire prendre au piège par ces fraudeurs. Boléro et les siens ne sont pas aussi bêtes pour rester sans réponse devant cet épineux problème, et surtout que la journée '' Île morte'' a fait peur à tout le monde y compris Ikililou lui-même. Pour permettre la tenue des élections législatives, des conseillers et municipaux, il fallait accepter de subventionner Mamawe pendant trois mois. Cette stratégie est flagrante, et il nous appartient tous de prendre nos responsabilités. On est tous concernés par ce drame, et céder à la manipulation d'Ikililou et ses hommes, serait une faute grave voire morale, car nous allons le regretter.  Comment on peut accepter une telle ânerie, quand on sait que chaque jour qui se lève, on assiste à de détournements de l'argent public ? Pourquoi Ikililou refuse de sanctionner les voyous qui lui entourent et qui sont à l'origine de ces détournements ? Ne serait-ce accepter de limoger son frère Soifaoui Dhoinine, son conseiller en charge des relations avec l'Europe, avec résidence en France, et qui, aujourd'hui, tout le monde sait qu'avec le directeur général de Comores Telecom, Abiamri Mahmoud, dévalisent la dite société, et établissent ensemble de contrats fantômes qui leur enrichissent sans qu'Ikililou s'en rende compte de ce danger qui le menace. A Comores Telecom, on parle de plus de 24 milliards de francs comoriens volatilisés, et la Cour des comptes continue à enquêter avec des rapports accablants, mais Abiamri est protégé par Ikililou.  Les leçons du Burkina Faso doivent inspirer les comoriens. Certes, les enjeux ne sont pas les mêmes car Blaise Compaoré avait imposé la modification de la constitution pour devenir un quasi-président à vie après 27 ans de pouvoir, ce qui n'est pas le cas pour l'instant pour Ikililou mais nos revendications sont les mêmes, que celles du peuple Burkina : mettre un terme à la misère, offrir une vie meilleure au peuple, se débarrasser de tous les voyous qui pillent les biens du peuple. Alors, Ikililou doit en tirer les leçons de ce qui est arrivé à ce dictateur voyou.   Contrairement à ce que pensent le président Ikililou et son laborantin la société comorienne a changé d'air. Que retenir de la chute de ces dictateurs africains qui '' assassinent'' économiquement et socialement leurs peuples ? La plupart ont quitté honteusement le pouvoir grâce à la détermination de ces peuples qui les ont élus, et dont le sort qu'ils leur ont réservé est de les réduire en mendiants, et le cas burkinabé, libyen, égyptien ou tunisien, doit faire réfléchir le président Ikililou, au lieu de se contenter du '' miel'' que lui fait goûter son laborantin qui le trompe à longueur de journée.  L'heure de la mobilisation a sonné, et il faut que le peuple comorien prenne son destin en main. Les trois mois fixés par le gouvernement pour subventionner la Mamwe afin d'assurer une distribution de l'électricité n'est que du mensonge traduit dans ce que ces jeunes malheureux diplômés, et livrés à eux-mêmes dans la rue, appellent '' jouer aux prolongations''. Nous remercions le président de la fédération des consommateurs comoriens et tous ceux qui l'ont accompagné dans cette lutte, mais nous lui disons que ce qu'ils ont obtenu de ce gouvernement, n'est que du mensonge et que la lutte doit continuer. La révolution, c'est maintenant ou jamais.  MDLPC  MLIMADJI

La magie noire pratiquée par le président Ikililou pour se maintenir au pouvoir a-t-elle envoûté les mobilisateurs de l’action ‘’ Île morte’’ du 29 octobre ?C'est la seule question qui revient dans les bouches des hommes et des femmes qui ont contribué activement à la réussite de cette journée '' Île morte'' après le fameux plan de sortie de crise énergétique dans notre pays. Un plan qualifié par la majorité des comoriens comme un mépris voire une insulte de la part d'un gouvernement aux abois, et qui perd ses repères. Comme leurs camarades que nos militants pour la libération des Comores ont rencontrés ce matin Place Ajao, ces quatre diplômés dans la rue sans emploi depuis quatre ans, perdent espoir quant à une vraie riposte pour imposer le changement dans notre pays. Ils ont naïvement cru que la journée '' Île morte'' est le début de la fin d'un régime qui ne pense qu'à son propre ventre et qui traite son peuple de mendiants. Mais, cette réunion de la honte tenue à la présidence de la République entre gouvernement et les représentants de ce peuple mal traité par le pouvoir, est aux yeux de chacune et chacun, un échec total et le combat doit continuer. Quelle naïveté de croire qu'en l'espace de trois mois, ces autorités sans cœur parviendront à trouver une solution à cette crise énergétique, alors que ce sont les mêmes qui détiennent le pouvoir depuis plus de 8 ans ? On a tendance à oublier que c'est la même équipe de la continuité, et il n y a pas lieu à se faire prendre au piège par ces fraudeurs. Boléro et les siens ne sont pas aussi bêtes pour rester sans réponse devant cet épineux problème, et surtout que la journée '' Île morte'' a fait peur à tout le monde y compris Ikililou lui-même. Pour permettre la tenue des élections législatives, des conseillers et municipaux, il fallait accepter de subventionner Mamawe pendant trois mois. Cette stratégie est flagrante, et il nous appartient tous de prendre nos responsabilités. On est tous concernés par ce drame, et céder à la manipulation d'Ikililou et ses hommes, serait une faute grave voire morale, car nous allons le regretter. Comment on peut accepter une telle ânerie, quand on sait que chaque jour qui se lève, on assiste à de détournements de l'argent public ? Pourquoi Ikililou refuse de sanctionner les voyous qui lui entourent et qui sont à l'origine de ces détournements ? Ne serait-ce accepter de limoger son frère Soifaoui Dhoinine, son conseiller en charge des relations avec l'Europe, avec résidence en France, et qui, aujourd'hui, tout le monde sait qu'avec le directeur général de Comores Telecom, Abiamri Mahmoud, dévalisent la dite société, et établissent ensemble de contrats fantômes qui leur enrichissent sans qu'Ikililou s'en rende compte de ce danger qui le menace. A Comores Telecom, on parle de plus de 24 milliards de francs comoriens volatilisés, et la Cour des comptes continue à enquêter avec des rapports accablants, mais Abiamri est protégé par Ikililou. Les leçons du Burkina Faso doivent inspirer les comoriens. Certes, les enjeux ne sont pas les mêmes car Blaise Compaoré avait imposé la modification de la constitution pour devenir un quasi-président à vie après 27 ans de pouvoir, ce qui n'est pas le cas pour l'instant pour Ikililou mais nos revendications sont les mêmes, que celles du peuple Burkina : mettre un terme à la misère, offrir une vie meilleure au peuple, se débarrasser de tous les voyous qui pillent les biens du peuple. Alors, Ikililou doit en tirer les leçons de ce qui est arrivé à ce dictateur voyou. Contrairement à ce que pensent le président Ikililou et son laborantin la société comorienne a changé d'air. Que retenir de la chute de ces dictateurs africains qui '' assassinent'' économiquement et socialement leurs peuples ? La plupart ont quitté honteusement le pouvoir grâce à la détermination de ces peuples qui les ont élus, et dont le sort qu'ils leur ont réservé est de les réduire en mendiants, et le cas burkinabé, libyen, égyptien ou tunisien, doit faire réfléchir le président Ikililou, au lieu de se contenter du '' miel'' que lui fait goûter son laborantin qui le trompe à longueur de journée. L'heure de la mobilisation a sonné, et il faut que le peuple comorien prenne son destin en main. Les trois mois fixés par le gouvernement pour subventionner la Mamwe afin d'assurer une distribution de l'électricité n'est que du mensonge traduit dans ce que ces jeunes malheureux diplômés, et livrés à eux-mêmes dans la rue, appellent '' jouer aux prolongations''. Nous remercions le président de la fédération des consommateurs comoriens et tous ceux qui l'ont accompagné dans cette lutte, mais nous lui disons que ce qu'ils ont obtenu de ce gouvernement, n'est que du mensonge et que la lutte doit continuer. La révolution, c'est maintenant ou jamais. MDLPC MLIMADJI

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