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Le blog  Aimons les Comores de SAID IBRAHIM

La grogne au sein de l'armée. La fin a sonné

30 Décembre 2014 , Rédigé par Aimons les Comores

La grogne au sein de l’armée. La fin a sonnéQui trompe qui ? Des militaires furieux du mauvais traitement que leur inflige le directeur de cabinet et chargé de la défense, Hamada Madi Boléro, n'attendent pas croiser les bras après les manipulations de ce dernier faisant de cette institution sa '' chose''. Dans la célébration du Maoulid organisée à la gendarmerie nationale par l'armée, Bolero défie l'armée en affirmant qu'il appartient à la prochaine Assemblée Nationale d'examiner la loi qui fixe les salaires de nos militaires. Une position qui, aux yeux de l'armée est une provocation dans la mesure où, le gouvernement a monnayé plusieurs lois auprès des représentants du peuple, mais quand il s'agit des militaires, il faut attendre. Mais que voulez-vous quand on sait que notre armée est impuissante et maîtrisée par le héros de Beit Salam ? Des victimes parmi tant d'autres. Une autre victime de l'intelligence de Hamada Madi Bolero, s'appelle El Anrif Said Hassane, ancien ministre des affaires étrangères et candidat aux législatives dans la circonscription de Mitsamiouli-Mboudé. Ce garçon pourtant sincère devant ses convictions est victime également de l'orgueil du président Ikililou qui a refusé de sanctionner Bolero après les injures qu'il a proliferés sur Feu président Said Mohamed Cheikh. Aujourd'hui, les défenseurs de la mémoire du président Cheikh, en commençant par ceux de sa ville natale Mitsamiouli, montrent leurs muscles contre la candidature d'El Anrif, une réponse sanglante à Ikililou.   En gros, Bolero est devenu intouchable et Ikililou lui a ouvert un boulevard pour tuer ceux dont il a envie de tuer, s'enrichir quand il le faut, et cracher sur ceux qui veulent lui porter ombre. Il gère actuellement tout seul le fonds octroyé aux comoriens par le Sultanat d'Oman en connivence avec la première du premier, Son Excellence Mme Hadidja Aboubacar ou Mma Halouoi pour les intimes. Pour combien de temps ce mépris à l'égard de tout un peuple va continuer à heurter notre fierté ? La réponse est dans les mains des libérateurs des Comores avec cette révolution citoyenne qui arrive à grands pas.  Qui vivra verra. A suivre !  A.F.M Moroni

La grogne au sein de l’armée. La fin a sonnéQui trompe qui ? Des militaires furieux du mauvais traitement que leur inflige le directeur de cabinet et chargé de la défense, Hamada Madi Boléro, n'attendent pas croiser les bras après les manipulations de ce dernier faisant de cette institution sa '' chose''. Dans la célébration du Maoulid organisée à la gendarmerie nationale par l'armée, Bolero défie l'armée en affirmant qu'il appartient à la prochaine Assemblée Nationale d'examiner la loi qui fixe les salaires de nos militaires. Une position qui, aux yeux de l'armée est une provocation dans la mesure où, le gouvernement a monnayé plusieurs lois auprès des représentants du peuple, mais quand il s'agit des militaires, il faut attendre. Mais que voulez-vous quand on sait que notre armée est impuissante et maîtrisée par le héros de Beit Salam ? Des victimes parmi tant d'autres. Une autre victime de l'intelligence de Hamada Madi Bolero, s'appelle El Anrif Said Hassane, ancien ministre des affaires étrangères et candidat aux législatives dans la circonscription de Mitsamiouli-Mboudé. Ce garçon pourtant sincère devant ses convictions est victime également de l'orgueil du président Ikililou qui a refusé de sanctionner Bolero après les injures qu'il a proliferés sur Feu président Said Mohamed Cheikh. Aujourd'hui, les défenseurs de la mémoire du président Cheikh, en commençant par ceux de sa ville natale Mitsamiouli, montrent leurs muscles contre la candidature d'El Anrif, une réponse sanglante à Ikililou. En gros, Bolero est devenu intouchable et Ikililou lui a ouvert un boulevard pour tuer ceux dont il a envie de tuer, s'enrichir quand il le faut, et cracher sur ceux qui veulent lui porter ombre. Il gère actuellement tout seul le fonds octroyé aux comoriens par le Sultanat d'Oman en connivence avec la première du premier, Son Excellence Mme Hadidja Aboubacar ou Mma Halouoi pour les intimes. Pour combien de temps ce mépris à l'égard de tout un peuple va continuer à heurter notre fierté ? La réponse est dans les mains des libérateurs des Comores avec cette révolution citoyenne qui arrive à grands pas. Qui vivra verra. A suivre ! A.F.M Moroni

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